La mort d’Enzo minorée par les médias

Un adolescent de 15 ans a été poignardé par un jeune du même âge le 22 juillet dans une petite commune de l’Eure (La Haye-Malherbe). Enzo sortait de son travail et il se rendait au stade de la commune pour voir un groupe d’amis. Il croisa deux autres jeunes et il reçut deux coups de couteau à la suite d’un « mauvais regard » : un à la jambe et l’autre au thorax. Il décéda à cause du coup de couteau au thorax.

Mais ce décès fait beaucoup moins parler dans les médias que celui de Nahel. La mère d’Enzo est sortie de son silence. Elle a déclaré : « Pourquoi ne parle-t-on pas de mon fils ? Parce qu’il ne vient pas d’une cité ? ». Elle a remarqué le silence des grands médias et le manque de soutien de la classe politique. En effet, le président de la république n’a pas fait un commentaire comme à la suite de la mort de Nahel. Qui sont les deux jeunes ? De quelle ville viennent-ils ? Un flou médiatique est entretenu sur leur situation.

Les deux jeunes impliqués dans la mort d’Enzo ont été mis en examen. Le principal suspect a été incarcéré dans un centre pour mineur. Une marche blanche a été organisée le 26 juillet à La Haye-Malherbe. Ce décès est peu médiatisé car le profil de la victime ne conforte pas la propagande cosmopolite à la mode. La mort d’un jeune issu de l’immigration permet de stigmatiser les Français et de les accuser de racisme ou de xénophobie. Inversement, la mort d’un Français de souche occasionné par des « jeunes » doit être minorée pour éviter une hausse supposée de la xénophobie.

Le discours des grands médias est bien rôdé avec la justification d’un « mauvais regard ». D'abord, il n'existe aucune preuve vidéo de ce « mauvais regard ». De plus, on laisse croire qu’Enzo est mort parce qu’il aurait mal regardé deux jeunes. Il serait donc responsable de sa mort. Mais cette justification est débile. Depuis quand un supposé mauvais regard justifie un assassinat ? Aucune loi et aucune morale n’autorise un meurtre après un mauvais regard !