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La chaude nuit de la Saint-Sylvestre



Le nombre de véhicules incendiés durant la nuit du Nouvel An s’élève à 690 selon le ministère de l’Intérieur. Le nombre de voitures brulées étaient de 874 l’an dernier, ce qui correspond à une baisse de 21% du nombre d’incendies de véhicules. Le communiqué du ministère de l’Intérieur précise qu’une baisse tendancielle est constatée car 1 316 véhicules avaient été incendiés en 2019 (l’année 2020 n’est pas prise en compte car un couvre-feu était imposé). Selon le communiqué du ministère de l’Intérieur : « l’année 2022 devient ainsi celle où le réveillon de la Saint-Sylvestre connaît le moins de véhicules incendiés et le plus d’interpellations ». Ainsi les policiers et les gendarmes ont réalisé 490 interpellations contre 441 en 2021, soit une hausse de 11%.


Gérald Darmanin considère que la destruction de 690 voitures est un moindre mal par rapport aux années précédentes. Mais les propriétaires de ces véhicules ont certainement un avis différent car ils ont perdu leur moyen de transport habituel. Ils doivent ressentir une injustice et penser que le gouvernement est incapable d’empêcher des actes de vandalisme sur la voie publique. Les racailles qui incendient les véhicules lancent un défi aux forces de l’ordre. Les carcasses calcinées démontrent l’emprise des délinquants sur un territoire qui leur appartient. L’État français n’est plus capable de faire respecter la loi sur une partie du territoire de la France. Des enclaves étrangères se consolident sur le sol français.


De plus, Gérald Darmanin a déclaré que la nuit du Nouvel An s’est déroulée « sans incident notable ». Pourtant les individus interpellés voulaient tirer des mortiers sur les forces de l’ordre ou voulaient mettre le feu à des voitures. La banalisation de cet état de fait est désolante car cette situation n’était pas la norme dans le passé. Il a pris de l’ampleur à partir des années 90. Auparavant, ce genre de spectacle consternant n’existait pas. On peut conclure que des enclaves hors sol ont prospéré depuis les années 90.


Malgré la baisse des incendies cette année par rapport à l’année dernière, la situation ne peut pas s’améliorer car les individus arrêtés sont relâchés à cause de la surpopulation carcérale. Un cercle vicieux est enclenché : le manque de places en prison incitent les juges à remettre en liberté les délinquants qui peuvent poursuivent leurs activités tranquillement. Les Français vivent dans un pays en cours de déclassement !


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