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L’Australie en feu



Des incendies importants ont éclaté en Australie. Huit millions d’hectares en feu (80 000 km²), près de 2 000 maisons détruites, 25 morts et 500 millions d’animaux morts (kangourous, koalas, lièvres, renards, chèvres, chevaux…). Le premier ministre -Scott Morrison- a été mal accueilli lors de ses déplacements sur les terres brulées. Il est de droite et il a remporté les élections en 2019 contre des travaillistes qui souhaitaient une politique « zéro carbone ». Aujourd’hui, la thèse d’incendies dus au réchauffement climatique a la faveur des grands médias. La gauche écolo-bobo se venge contre le premier ministre australien.


Toutefois une autre explication a la faveur des pompiers australiens : l’ampleur des incendies est due aux nouvelles règles environnementales qui empêchent le débroussaillage depuis les années 2000. Les pistes sont désormais envahies par une végétation d’arbustes. Des pierres ou des barrières ont été posées pour favoriser la repousse des plantes. La technique ancestrale des aborigènes qui consistait à bruler les broussailles à la bonne période a été prohibée. De plus, le défrichement préventif aux abords des habitations est soumis à autorisation administrative. Les écolos qui ont imposé ses choix environnementaux se retrouvent sur la sellette. Enfin, les incendies en cours ne sont pas forcément dus au climat : ainsi, une douzaine d’incendiaires potentiels ont été arrêtés par la police.


Actuellement, le gouvernement australien prévoit d’abattre 10 000 dromadaires car ils menacent les réserves en eau et en nourriture des hommes. Cette initiative parait absurde car les dromadaires sont des herbivores, cet abattage va favoriser la végétation et donc la propagation des futurs incendies.

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