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L’alliance entre Orban et Salvini contre Macron



Une rencontre entre Matteo Salvini et Viktor Orban s’est déroulée à Milan le 28 août 2018. Le vice-président du Conseil italien et le premier ministre hongrois ont critiqué le positionnement d’Emmanuel Macron. Viktor Orban a estimé que Macron est le « chef de file des partis pro-migrants ». Matteo Salvini lui reproche de refuser l’accostage des navires chargés de migrants tout en faisant la leçon au gouvernement italien qui fait de même. Emmanuel Macron a répondu : « Je ne céderai rien aux nationalistes et à ceux qui prônent un discours de haine. S’ils ont vu en ma personne leur opposant principal, ils ont raison ».


Emmanuel Macron fustige le nationalisme car il pense qu’il débouche sur la guerre. Pourtant les hommes n’ont pas eu besoin des nations pour s’entretuer. Des guerres tribales et des guerres religieuses ont existé avant l’apparition des États-nations. Un discours critiquant les illégaux qui se déverse sur l’Europe est-il haineux ? Il s’agit simplement de défendre les intérêts des peuples européens. Ceux-ci n’ont aucun intérêt à laisser venir des miséreux sans qualification professionnelle qui vont devenir une charge pour les Européens. Les immigrés illégaux apportent avec eux un surplus de délinquance et de criminalité ainsi que des risques sanitaires. Des cas de gale et de tuberculose sont détectés parmi les migrants.


Les États-nations se sont constitués en délimitant un territoire et en défendant leurs frontières. Depuis plusieurs décennies, une idéologie décadente prétend que l’immigration est une chance. La société multiculturelle est présentée comme un idéal paradisiaque par la propagande dominante. Mais les peuples voient bien que l’immigration est nuisible à leur bien-être. Emmanuel Macron fait preuve d’une fermeté de façade et en même temps de laxisme. Ainsi des immigrés de l’Aquarius ont obtenu une carte de résident en France bien qu’ils aient débarqué en Espagne.


La position de l’Italie et de la Hongrie est également partagée par l’Autriche, la Tchéquie, la Pologne et la Slovaquie qui ont refusé les quotas d’immigrés imposés par l’Allemagne aux autres pays de l’Union européenne. Ainsi une coalition d’États dont les territoires relient la Méditerranée à la mer Baltique s’est constituée pour lutter contre le laxisme migratoire. Le président français a peu d’alliés en dehors de l’Allemagne et de l’Espagne pour poursuivre sa politique immigrationniste. Il cherchait récemment un allié au Danemark. Les oligarques européens qui veulent imposer aux peuples leurs lubies n’ont pas gagné la partie. L’avenir dira si les peuples arriveront à imposer leur volonté à la clique des dirigeants immigrationnistes.

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