Le bilan des émeutes
Les soulèvements dans les banlieues sont terminés. Il est possible de faire un premier bilan. La cause initiale fut un contrôle de police qui tourna mal. Un individu au volant du véhicule immobilisé par la police prit l’initiative de redémarrer en basculant un policier. Celui-ci tira et tua le conducteur. Le chauffard était un jeune issu de l’immigration algérienne. Cette particularité provoqua un soulèvement dans les banlieues. Le premier enseignement est qu’il existe une solidarité ethnique et communautaire dans les banlieues d’immigration. Il est probable que la mort d’un blanc n’aurait pas engendré une révolte.
Le second constat est l’incapacité de l’État français à faire régner l’ordre sur son sol. Il suffit d’un contrôle de police qui se termine mal pour assister à des scènes de chaos relayées dans le monde entier. L’État est faible envers les racailles et fort envers les honnêtes gens. Ces émeutes se produisirent durant une période de cent jours qui devait apaiser les Français après la réforme des retraites. Mais à la place de l’apaisement survint la chienlit. De plus, ce sont probablement les trafiquants de drogue qui ont obtenu la fin des émeutes afin de poursuivre tranquillement leurs affaires lucratives.
Le troisième constat est le recours à une propagande visant à minorer la gravité des faits et à cacher l’identité des émeutiers. Le ministre de l’Intérieur a précisé : « Il y a eu beaucoup de Kevin et de Mattéo » parmi les émeutiers. Il avait déjà confondu dans le passé des racailles françaises avec des Anglais. A présent, il ne voit toujours pas l’origine des émeutiers. Cette cécité est la conséquence d’une idéologie cosmopolite partagée par les membres du gouvernement. La réalité doit s’estomper pour laisser place à un récit médiatique illustrant le « vivre-ensemble ».
Ainsi la France apparaît comme un pays en proie à des convulsions ethniques. Mais une chape de plomb étatique et médiatique essaye de maintenir le mythe d’un pays paisible et prospère. C’était autrefois la France du général de Gaulle. Mais à présent, on vit dans l’enfer multiculturel qui est nié par une clique de décadents mythomanes. Ils donnent au peuple des allocations et des événements sportifs comme on donnait du pain et des jeux dans la Rome antique. Mais ils ne veulent pas voir les barbares qui s’installent de plus en plus nombreux dans le pays. Pourtant la chute de Rome devrait les éclairer sur le risque encouru !
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