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Une fraude sociale évaluée à 30 milliards par an



Le Figaro magazine a publié une interview de Charles Prats. Cet ancien magistrat de la Délégation nationale à la lutte contre la fraude (DNLF) estime que 2,5 millions d’individus « fantômes » bénéficieraient de 30 milliards de prestations indues. Il a comparé le nombre théorique maximum de bénéficiaires et le nombre de ceux qui touchent réellement des prestations : 12,4 millions de personnes nées à l’étranger ou dans les territoires d’outre-mer ont bénéficié l’an dernier de prestations (pensions de retraite, allocations, chômage, maladie) alors qu’il doit exister 9,9 millions d’individus selon les chiffres de l’INSEE. Il y a donc 2,5 millions de bénéficiaires en trop. Si les 12,4 millions de bénéficiaires existaient vraiment, cela signifierait que 42% des allocataires des CAF seraient nés à l’étranger !


Le total des dépenses annuelles de protection sociale s’élève à 787 milliards d’euros pour 66,5 millions d’habitants, soit 11 834 euros par personne. Ainsi les 2,5 millions de bénéficiaires en trop doivent toucher près de 30 milliards par an. Les fraudeurs créent de fausses identités étrangères pour bénéficier de prestations indues, ou bien ils usurpent des identités françaises.


Au moment où tout le monde constate un manque de lits d’hôpitaux, ces escroqueries sont particulièrement choquantes. Cette situation s’explique par la doxa dominante depuis des décennies chez les gouvernants français. Leur idéologie mondialiste les incite à idolâtrer les populations immigrées. La lutte contre les fraudes ferait apparaître au grand jour la prédation subie au détriment des Français par des « chances pour la France ».

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