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Une idéologie haineuse propagée par les « élites »



Emmanuel Macron a contribué au divorce entre les Français et les « élites ». Avec sa communication sans filtre, il a informé le peuple français des pensées de nos « élites ». Le message a été bien reçu. La caste au pouvoir a adopté une doxa importée des États-Unis qui se prétend politiquement correcte. Dans les années 60, des gauchistes américains ont inventé cette idéologie entre deux absorptions de substances illégales. Ils ont trouvé que des méchants blancs opprimaient des gentilles minorités.


Aujourd’hui les adeptes de cette théorie analysent la réalité à travers un prisme manichéen. Ils voient des nazis quand des gilets jaunes manifestent dans les rues. Les « bien-pensants » se croient autorisés à faire des amalgames abjects. Cette stratégie de diabolisation est mise en œuvre pour discréditer un mouvement populaire. Mais les expressions comme « lèpre populiste » et « peste brune » ont aggravé la fracture entre les Français et le pouvoir. L’idéologie « politiquement correcte » ne permet pas de faire des analyses correctes de la réalité et elle aggrave les dissensions. Elle permet toutefois aux gouvernants de tenir des propos haineux envers le peuple français.


La doxa des « élites » incite les Occidentaux à se repentir et à s’excuser d’exister. Elles semblent prisonnières d’un autre espace-temps. Elles combattent les fantômes du passé plutôt que de s’intéresser aux gens d’aujourd’hui. Emmanuel Macron, avant son élection, a accusé les Français de crime contre l’humanité en Algérie. Ainsi les Français sont collectivement condamnés. Inversement, une idolâtrie absurde bénéficie aux minorités labellisées par le politiquement correct. L’affaire Benalla est la conséquence de la mise en œuvre par le président d’une discrimination « positive » au profit d’un représentant d’une minorité. On peut constater le résultat.


Une propagande haineuse se déverse quotidiennement : elle stigmatise les gilets jaunes car ils s’opposent aux « progressistes ». Les gilets jaunes demandent un minimum de respect. Mais il ne s’achète pas : ce n’est pas en balançant 10 milliards que l’on obtient une réconciliation. La crise est également existentielle. La majorité rejette le projet de société ouverte proposée par les « progressistes » et ceux-ci répondent par des amalgames insultants.


Pourtant la France a la chance d’avoir une religion traditionnelle qui prône l’amour du prochain. Mais elle a été supplantée après mai 68 par une idéologie perverse opposant des oppresseurs à des opprimés. L’amour du prochain a été remplacé par la haine des « élites progressistes » à l’encontre des Français. La clique au pouvoir n’a pas l’intention de renier sa doxa et les Français ne veulent plus subir passivement une oligarchie méprisante. La crise ne peut donc que s’aggraver : une minorité stigmatise la majorité silencieuse et celle-ci est sortie de son silence pour exiger un renouvellement des élites !

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