Ça saigne à Perseigne
Une rixe dans le quartier Perseigne à Alençon a entrainé le 1er août dernier un mort et 10 blessés. L’individu décédé était Afghan. Il a été tué par balles. Des renforts de police ont été envoyés sur place. Une information judiciaire a été ouverte mais aucune interpellation n’a eu lieu. Les médias ont qualifié les protagonistes de « bandes rivales » et de « communautés rivales ». Le procureur de la république a fait part de ses « supputations quant aux causes de la rixe ».
Le traitement de cet homicide par les médias ne laisse pas de doute sur l’origine des protagonistes. Les termes de « bandes » et « communautés » utilisés dans la langue de bois signifient que ce sont des racailles d’origine immigrée. D’ailleurs l’homme décédé était de nationalité afghane. Les autorités et les médias sont incapables de préciser en quoi consistait la rivalité. Cette discrétion confirme l’origine étrangère des participants. Dans le cas d’une rixe entre des Français de souche et des immigrés, la cause avancée par la propagande serait automatiquement le racisme des premiers à l’encontre des seconds.
On peut toutefois faire une hypothèse sur la nature de la rivalité. Les Afghans ont certainement voulu faire concurrence aux racailles locales. Il peut s’agir de trafic de drogue ou de vols. Pour contrer cette agression, les locaux ont décidé des défendre leur territoire avec des armes blanches et des armes à feu. D’ailleurs la contre-offensive a réussi. La quasi-totalité des Afghans installés à Alençon a déguerpi vers d’autres villes françaises. Mais ce n’est pas vraiment une bonne nouvelle pour les villes d’accueil.